« Propos rebelles », est paru ce 27 mars chez Flammarion. Il s’agit d’une sélection de Propos d’Alain réalisée et postfacée par Pierre Heudier, et préfacée par André Comte-Sponville : des articles publiés quotidiennement, entre 1900 et 1914, dans un journal de province, La Dépêche de Rouen (ville où Alain vécut et enseigna, de 1900 à 1902).
Quatrième de couverture :
« J’ai cette idée préconcue qu’un homme qui cherche et dit la vérité, qui cherche et dit la justice, doit être désagréable à beaucoup de gens. » Alain
Maître de la prose d’idées, Alain est surtout connu pour ses Propos sur le bonheur. Mais il est également virtuose dans l’art de la critique. Sa plume acerbe n’épargne rien ni personne: l’éducation, les actionnaires, l’Eglise, les fonctionnaires, le mariage… tout est sujet à l’examen philosophique.
Courts, accessibles et stimulants, ces Propos rebelles nous invitent à découvrir un pan méconnu de l’œuvre d’Alain, pour ne jamais se résigner. Êtes-vous prêts à vous rebeller ?
Format poche ; 96 pages ; 3€
Voir sur le site de Flammarion : https://editions.flammarion.com/propos-rebelles/9782290404478
Il peut être commandé en ligne notamment sur les librairies suivantes :
https://www.fnac.com/a19311183/Alain-Propos-rebelles-1900-1914
https://www.lalibrairie.com/livres/propos-rebelles_0-10604852_9782290404478.html
https://www.decitre.fr/livres/propos-rebelles-9782290404478.html
https://www.amazon.fr/Propos-rebelles-1900-1914-Alain/dp/2290404470
https://www.leslibraires.fr/livre/23305315-propos-rebelles-1900-1914–alain-j-ai-lu
Commentaire de Jacques Vauloup sur le site http://propos.orientes.free.fr/dotclear/
« Je pense par un mouvement de cheval qui refuse la bride, Émile- Auguste Chartier dit Alain (1868-1951).
Dans un Librio accessible à tous pour 3€, Pierre Heudier, vice-président de l’association des amis d’;Alain, met en valeur 49 Propos
rebelles du philosophe rédigés dans les années 1900-1914. Textes critiques, pamphlétaires, graves, pensants, dans un pesant début de 20è siècle. Au format léger, destinés au lectorat de La Dépêche de Rouen et de Normandie, ils n’;en sont pas moins profonds. Et, un siècle après, dans un étouffant début de 21è siècle, d’une
térébrante actualité. »
